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Élévasion
Évasion - Île de Koh Rong (CAMBODGE) 2015
J’étais sur cette île encore sauvage, sans téléphone, sans électricité. La nuit, j’entendais la jungle reprendre possession du lieu. Au petit matin, ce ponton emmenait mon esprit vers l’infini. L’eau turquoise comme seule limite et le vent comme meilleur ami.
J’étais sur cette île encore sauvage, sans téléphone, sans électricité. La nuit, j’entendais la jungle reprendre possession du lieu. Au petit matin, ce ponton emmenait mon esprit vers l’infini. L’eau turquoise comme seule limite et le vent comme meilleur ami.
Le Bamboo train se trouve en plein milieu de la brousse, cela ne change en rien la vie des villageois.
La beauté de l’impermanence
Vivre au jour le jour - Marrakech (MAROC) 31 décembre 2013
Dernier coucher de soleil de l’année 2013, au centre des fuseaux horaires. Ce soleil qui se couche derrière les ombres de la ville, cet instant magique, hors du temps, m’a rappelé l’impermanence des choses. Impossible de revenir en arrière ou d’arrêter cette mécanique infernale. J’étais cantonnée à contempler le temps qui passe et à le figer par la photographie.
Dernier coucher de soleil de l’année 2013, au centre des fuseaux horaires. Ce soleil qui se couche derrière les ombres de la ville, cet instant magique, hors du temps, m’a rappelé l’impermanence des choses. Impossible de revenir en arrière ou d’arrêter cette mécanique infernale. J’étais cantonnée à contempler le temps qui passe et à le figer par la photographie.
Angk’r’âge
Respect de la nature - Temple Ta Prohm - Siam Reap (CAMBODGE) 2015
Lors de la visite des temples d’Angkor, patrimoine exceptionnel devenu usine à touristes, pollué par le passage quotidien de centaines de véhicules, où il est permis de marcher sur les pierres sacrées, je suis tombée sur cet arbre qui a pris racine sur le temple. C’était comme un hymne à la vie, rappelant à l’homme ce lien qui unit spiritualité et nature.
Lors de la visite des temples d’Angkor, patrimoine exceptionnel devenu usine à touristes, pollué par le passage quotidien de centaines de véhicules, où il est permis de marcher sur les pierres sacrées, je suis tombée sur cet arbre qui a pris racine sur le temple. C’était comme un hymne à la vie, rappelant à l’homme ce lien qui unit spiritualité et nature.
